L'équipe.

Psychologue clinicien, il a soutenu une thèse de doctorat en psychologie à l’Université de Lille en 2002, puis une habilitation à diriger des recherches en Psychologie à l’Université de Lille en 2008. Nommé maître de conférences en Psychologie à Lille en 2003 puis Professeur en 2010, il est responsable du parcours Master de psychopathologie et psychologie de la santé.

Après avoir travaillé sur le stress en conditions extrêmes (1997-2002), ses travaux ont été réorientés en 2003 vers la détresse psychologique face aux maladies chroniques et depuis 2010 vers les maladies neurodégénératives, tant au niveau individuel que dyadique. Il est notamment reconnu pour avoir développé des interventions innovantes à destination des aidants.

Psychologue clinicienne titulaire d’un Master en psychologie de la santé, elle a tout d’abord travaillé comme psychologue clinicienne auprès de patients atteints de cancer et de leur famille. Elle a ensuite poursuivi sa formation en obtenant un Doctorat à l’Université de Lille. Sa thèse s’intéressait au rôle du nerf vague dans la relation entre les facteurs de risque psychologiques et l’apparition du cancer.

Elle travaille actuellement comme ingénieure de recherche et a rejoint l’équipe de la chaire opsyrii dans le cadre des projets ICEbreaker et TRANSITION.

Titulaire d’un Master en Psychologie parcours « Psychopathologie et Psychologie de la Santé » de l’Université de Lille, Léna a intégré le laboratoire SCALab UMR CNRS 9193 (équipe DEEP) de l’Université de Lille en tant qu’ingénieure d’études dans le cadre du projet REHAB-quali (en collaboration avec le Centre Oscar Lambret – financé par AstraZeneca).

Ce projet a pour objectif de créer et coordonner un parcours après cancer de soins de supports et de réhabilitation dans les cancers des VADS en proposant aux patients une stratégie personnalisée en fonction de leurs besoins.

Titulaire d’un Master en Psychologie, spécialisé en Psychopathologie et Psychologie de la Santé (PEPS), réalisé à l’Université de Lille, Léa Demeulenaere a obtenu un financement doctoral de l’Institut national du cancer lui permettant de poursuivre sa formation en Doctorat de Psychologie (sous la direction du Dr Kristopher Lamore).

Rattachée à l’Université de Lille ainsi qu’au laboratoire SCALab (UMR CNRS 9193) – au sein de l’équipe DEEP (Dynamique Émotionnelle et Pathologies) – et à l’Institut ONCOLille, son doctorat se concentre sur le cancer du col de l’utérus (CCU) et la santé sexuelle. Son travail s’articule autour de deux volets principaux :

1. Explorer le vécu intime et sexuel des couples confrontés au CCU, en s’intéressant à l’impact de la maladie et de ses traitements à différentes phases du parcours de soins.
2. Identifier les obstacles rencontrés par les professionnel.le.s de santé concernant la prise en charge sexologique de cette patientèle, afin de mieux comprendre les freins à une prise en charge adaptée.

Ce projet s’inscrit dans une démarche visant à améliorer la prise en charge sexologique des couples confrontés au CCU et la formation des professionnel.le.s de santé en oncologie relative à cet accompagnement. Léa réalise ce projet en collaboration avec des clinicien.ne.s du Centre Oscar Lambret. Par ces travaux, Léa souhaite contribuer à l’intégration de la santé sexuelle dans le parcours de soins et à la déstigmatisation de la sexualité en contexte de maladie.

Après l’obtention d’un diplôme de Master en psychologie, elle a continué avec une thèse où elle s’est intéressée au rôle des émotions dans la régulation émotionnelle, notamment chez des personnes atteintes d’un cancer. Après son Doctorat, en 2013, elle a été chargée de projet SHS pour le 1er SIRIC ONCOLille. Depuis 2017, elle travaille en tant qu’ingénieure de recherche au SCALab et coordonne différents projets de recherche, notamment en psycho-oncologie. Elle est membre du comité d’éthique pour la recherche de l’Université de Lille depuis 2017, et co-responsable de l’axe 5 « Cancers, individus et société » du Cancéropôle Nord-Ouest depuis 2019. Elle est également membre de la Non Pharmacological Intervention Society (NPIS).

Dans le cadre de ses projets de recherche, elle a développé une expertise en recherche interventionnelle et s’intéresse plus particulièrement aux processus émotionnels des patients atteints d’une maladie somatique ou des proches-aidants. Un autre de ses axes de recherche porte sur les croyances en santé.

Titulaire d’un Master de psychologie, parcours psychologie de la santé, et d’un Master de politiques locales de santé, il a par la suite réalisé une thèse de doctorat financée par l’Institut National du Cancer au sein de l’Université de Lille, portant sur les croyances envers les thérapies innovantes du cancer. De 2018 à 2022, il a été psychologue clinicien au sein du comité départemental du Nord de La Ligue Nationale contre le Cancer, effectuant des accompagnements individuels et de groupe auprès de personnes touchées par la maladie et de leurs aidants.
Poursuivant son parcours par un contrat postdoctoral au sein de l’équipe de la chaire opsyrii de septembre 2022 à août 2024, il a été particulièrement investi dans le projet ICEbreaker visant à développer un dispositif en ligne d’accompagnement des patients atteints de cancer et de leurs proches. Désormais chercheur postdoctoral au sein de l’Université de Montréal (Québec, Canada), il continue son investissement au sein de l’équipe en collaborant au projet ICEbreaker et en tant que membre du comité de pilotage du projet.

Ses recherches visent à la mise en place d’études interventionnelles ayant pour objectif de limiter l’impact de situations de santé chroniques (e.g., cancer, douleur chronique) sur la qualité de vie et l’ajustement psychologique des personnes concernées et de leurs proches.

Titulaire d’un doctorat en neurosciences soutenu en 2020 à l’Université de Strasbourg, elle a consacré sa thèse à l’étude des mécanismes moléculaires sous-tendant l’impact des expériences périnatales adverses sur la réponse à la douleur et la vulnérabilité psychiatrique à l’âge adulte. Après deux années de management de projet dans un institut interdisciplinaire d’ingénierie biomédicale, elle a ensuite dédié ses recherches à la prise en charge de la douleur chronique et de ses comorbidités affectives.

Actuellement post-doctorante au sein de l’équipe de la chaire opsyrii, sous la direction de Kristopher Lamore, elle est impliquée dans le projet de recherche interventionnelle EN-HOPE SMART4CBT (labélisation PEDIACRIEX – Financé par l’Institut national du cancer), qui vise à améliorer la qualité de vie et l’accompagnement psycho-social des patients mineurs atteints d’une tumeur cérébrale et de leurs parents. Elle est particulièrement investie dans le volet consacré à l’ajustement des parents face à un diagnostic de tumeur cérébrale chez leur enfant et sa prise en soins.

Diplômée d’un Master de psychologie de l’Université Libre de Bruxelles (Belgique), elle a poursuivi avec une thèse l’Université catholique du Louvain (Belgique) soutenue en 2012 où elle s’est intéressée aux liens entre l’alexithymie et l’empathie. Nommée Maître de conférences en Psychologie à l’Université de Lille en 2015, elle a soutenu son Habilitation à Diriger des Recherches en 2020. En 2022, elle a été nommée Professeure des universités en psychologie de la santé et est depuis responsable de l’équipe « Dynamique des émotions et Pathologies, DEEP » du laboratoire SCALab de l’Université de Lille.

Depuis plus de 10 ans, son domaine de recherche porte sur les troubles de la cognition sociale, de la régulation des émotions et de la conscience intéroceptive auprès de différentes populations cliniques telles que les personnes atteintes d’un cancer.

Titulaire d’un Master en Psychologie clinique, psychopathologie et psychologie de la santé parcours Psychothérapie et Dimensions Traumatiques, au sein de l’Université de Metz, Ambre Ittouchene est actuellement doctorante au sein du laboratoire SCALab UMR CNRS 9193, (Équipe DEEP) de l’Université de Lille.
Sa thèse porte sur le développement et l’évaluation d’un programme en ligne centré sur l’information, la communication et la gestion des émotions visant à l’amélioration de l’accompagnement des patients atteints de cancer et leurs proches (Sous la direction du Dr. Kristopher Lamore). Ce projet de thèse fait partie intégrante du projet ICEbreaker.

Ambre a été lauréate de la bourse d’excellence ORION « Osez la Recherche » pour l’année universitaire 2022-2023. Cette bourse lui a permis de réaliser un stage de six mois au sein du laboratoire APEMAC (UR 4360) de l’Université de Metz, de découvrir le monde de la recherche et d’être impliquée sur le développement de projets novateurs. Cette expérience lui a offert l’opportunité de clarifier son projet professionnel, orienté vers une carrière universitaire dédiée à l’enseignement et à la recherche.

Titulaire d’un Master en Psychologie Clinique et Psychopathologie de l’Université Libre de Bruxelles, Clara a intégré le laboratoire SCALab UMR CNRS 9193, (Equipe DEEP) de l’Université de Lille, en tant qu’ingénieure de recherche dans le cadre du projet EN-HOPE SMART4CBT (labélisation PEDIACRIEX – Financé par l’Institut national du cancer).

Ses travaux portent principalement sur les impacts psychosociaux des tumeurs cérébrales et des traitements sur les patients pédiatriques. Elle s’intéresse également à l’adaptation des parents à la maladie de leur enfant mais aussi les besoins et les difficultés des acteurs de la prise en soins de ces jeunes patients.

Titulaire d’un Master en Santé Publique avec une spécialisation en épidémiologie des maladies transmissibles et non transmissibles réalisé à l’Université de Limoges, Martin Rebillon a intégré le laboratoire SCALab UMR CNRS 9193, (Equipe DEEP) de l’Université de Lille, en tant qu’ingénieur d’études en dans le domaine de la Santé et a pour volonté, de participer à des projets de recherche qui allient sciences fondamentales et applications concrètes, avec un focus particulier sur les enjeux de santé publique.

Ses principaux travaux de recherches portent sur les comportements de santé en lien avec la vaccination et la prise de traitements adjuvants (visant à augmenter l’efficacité des antibiotiques) contre les maladies respiratoires, auprès des populations et des professionnels de santé.

Il collabore également sur les principaux projets de recherches de la chaire opsyrii, tel que le projet ICEbreaker (qui a pour objectif de développer une intervention innovante en ligne et multinodulaire ciblant les besoins en information, les difficultés de communication et les émotions) ; le projet RESIST (qui a pour objectif d’explorer l’expérience des professionnels de santé et des patients avec leurs proches lors de l’annonce de la progression de la maladie, en mettant l’accent sur l’empathie et ses effets) et le projet TRANSITION (qui a pour objectif d’Améliorer l’accompagnement des adolescents et jeunes adultes (AJA) ayant eu un cancer pédiatrique, et leurs parents, vers la médecine pour adultes).

Psychologue spécialisée en neuropsychologie, Louise Richez est titulaire d’un Master Européen en Psychologie des Processus Neurocognitifs et Sciences Affectives (PPNSA), obtenu à l’Université de Lille. Elle exerce actuellement en tant qu’Ingénieure d’Étude (IGE) au sein de l’équipe DEEP du Laboratoire SCALab (UMR CNRS 9193) de l’Université de Lille. Elle a exercé en parallèle de ses projets dans un centre de rééducation, prenant en charge des patients adultes cérébro-lésés ou souffrant de diverses pathologies neurodégénératives.

Louise Richez se consacre à des projets centrés sur les impacts psychologiques du cancer tel que le projet REPHEMO LNH, portant sur le lymphome non-hodgkinien, sous la supervision de la Dr Christelle Duprez. Elle travaille également sur le projet REHAB-Quali, axé sur les cancers de la tête et du cou, dirigé par le Dr Kristopher Lamore. Ce projet vise à concevoir et coordonner un parcours de soins de support et de réhabilitation pour les patients atteints de cancers des VADS, en leur offrant une stratégie personnalisée adaptée à leurs besoins. Elle a également contribué au projet ICEbreaker dans le cadre de la chaire OPSYRII.

Ses travaux visent à approfondir la compréhension des problématiques rencontrées en psycho-oncologie et à soutenir l’évolution de la recherche dans ce domaine.

Titulaire d’une Maîtrise en psychologie, orientation psychologie de la santé, de l’Université de Lausanne, elle a souhaité poursuivre sa formation avec une thèse de doctorat en psychologie sous la direction de la Pre Sophie Lelorain et du Dr Kristopher Lamore. Elle réalise celle-ci en tant qu’assistante diplômée à l’Université de Lausanne.

Sa thèse porte sur le projet RESIST et s’intéresse à l’annonce d’une progression de la maladie due à une résistance au traitement ainsi qu’à l’implication d’un proche dans la consultation oncologique. À travers ce projet, elle pourra mettre en pratique les compétences en méthodologie qualitative acquises durant sa Maîtrise et développer des compétences en recherche quantitative.

Diplômée de l’École des Psychologues Praticiens de Paris, elle a effectué sa thèse à l’Université de Nantes sur la qualité de vie des femmes en rémission d’un cancer du sein, puis travaillé en tant que psychologue en oncologie à l’hôpital de Nantes, en France. Elle a poursuivi en post-doctorat, à l’Institut Curie et à l’Université de Paris, sur l’empathie des médecins traitant des patients pour un cancer avancé. Passionnée par la thématique, elle a continué sur cet axe de recherche en tant que Maître de Conférences à l’Université de Lille. Parallèlement, elle a travaillé deux ans en éducation thérapeutique au CHU de Lille. Elle a obtenu son Habilitation à Diriger des Recherches en 2019. En 2021, elle a rejoint l’Université de Lausanne en Suisse en tant que Professeure associée en psychologie de la santé, approches quantitatives.

Ses recherches portent principalement sur l’empathie des soignant·e·s en oncologie en tenant compte de l’interaction soignant·e·s-soigné·e·s. Un autre axe de ses recherches porte sur l’éducation thérapeutique afin de comprendre l’adhésion des patient·e·s et le vécu des soignant·e·s pour qui cette prise en charge peut s’avérer déstabilisante.

Titulaire d’un master en Économie Internationale et du développement de l’Université Panthéon-Assas Paris II, elle a mené une carrière au sein du ministère des Affaires Étrangères, avant de rejoindre le système des Nations Unies. Elle a d’abord travaillé pour le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) à Genève où elle était responsable de la mise en œuvre de la coopération avec la France. L’appel du terrain l’a amené à travailler pour le Département des Opérations de Maintien de la Paix de l’ONU. Elle ainsi rejoint la Mission en Haïti pendant quatre ans, puis celle de la République Démocratique du Congo.

Depuis 2021, elle s’est orientée vers le secteur de la santé. Engagée dans le partenariat patient, elle est titulaire d’une formation sur les Fondements du Partenariat Patient de l’Université de Montréal, complétée par un Diplôme Universitaire sur L’art du Soin en Partenariat avec le Patient de l’Université Côte d’Azur et d’un DU en Ethique appliquée à la santé de l’Université de Nantes. Elle met aujourd’hui à disposition ses solides compétences sur le partenariat, au niveau des concepts, de sa mise en œuvre, et de son évaluation, auprès d’institutions en Suisse et en France dans les domaines du soin, de la formation et de la recherche.